Depuis mars, plus d’une centaine d’hectares sont entrés à la vente. Ces surfaces sont réparties de la sorte à travers le Val de Loire :
On constate notamment des écarts de prix dus aux variations de cotation des Appellations d’Origine Contrôlée. Pour rappel la Loire n’en compte pas moins de 69 AOC de Sancerre à Saint Nazaire, en n’oubliant pas des régions comme l’Auvergne et les prix moyens de l’hectare, vont de 4 000 €/ ha à 150 000 €/ha.
Ce que l’on retiendra surtout, c’est que la tendance est à la prévoyance.
D’une part, la transmission parent-enfant du métier n’est plus une fatalité, et le métier de vigneron sonne d’avantage, désormais comme une vocation que comme un héritage forcé.
A présent, les producteurs prévoyants sans succession directe, engagent dès aujourd’hui la mise en valeur de leur domaine, anticipant leur départ à la retraite lorsque la société est à son optimum.
D’autre part, on considère désormais l’activité viticole comme une entreprise à part entière, une entreprise qui se cède et s’épanouit, chaque successeur apportant son renouveau pour la faire prospérer et se développer.
Les structures aussi sont très variées, et offrent un vaste tableau d’activités, ainsi les dernières propriétés entrées à la vente proposent :
Et ceci n’est qu’un aperçu !