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Prix des vignes en France : ce qu’il faut savoir en 2025

Dernière mise à jour le 26 juin 2025
Lecture 10 minutes

Le prix des vignes en France repose sur une multitude de critères.

Il existe une cotation officielle publiée par Agreste ou la SAFER, qui fournit une indication selon les régions viticoles. Cependant, cette base doit être affinée par une analyse complète de l’appellation revendiquée, de l’état des vignes, de leur âge, du cépage planté et des rendements obtenus.

Ces éléments combinés permettent d’estimer la valeur d’un vignoble.

Les vignes sont des organismes vivants, en constante évolution. Chaque parcelle reflète le travail quotidien du vigneron et sa passion.

C’est pourquoi deux vignobles situés à quelques kilomètres seulement peuvent présenter des valeurs très différentes. Selon leur terroir, leur classement en AOP, leur entretien et leur potentiel de production.

Depuis 2012, Ampelio accompagne les vignerons du Val de Loire dans la valorisation de leur domaine viticole, en veillant à défendre un prix juste, à la croisée des données économiques, techniques et humaines.

Dans cet article, nous vous offrons une analyse unique. Nous allons expliquer les mécanismes de valorisation foncière viticole. Vous aurez aussi une vue d’ensemble du marché foncier actuel.

Un vignoble en Touraine, très bien tenu

Qui fixe le prix des vignes ? Comment sont fixés les prix des vignes ?

Le prix des vignes résulte d’une croisée d’informations et de l’évolution du marché foncier. Aujourd’hui, ces prix sont fixés par Agreste, les SAFER et les experts viticoles.

Agreste est un service statistique public chargé de collecter, produire, analyser et diffuser des données relatives à l’agriculture, la forêt et les industries agroalimentaires françaises. Il opère sous l’égide de la Direction des Affaires Financières et de la Logistique (DAFL), en lien avec le Service de la statistique et de la prospective (SSP).

Les SAFER (Sociétés d’Aménagement Foncier et d’Établissement Rural) sont des organismes publics français. Leur mission principale est de réguler le marché foncier rural pour répondre à des objectifs d’intérêt général. Notamment :  la préservation des terres agricoles, la protection de l’environnement, la lutte contre la spéculation foncière et le bon développement des territoires ruraux.

Le prix des terres viticoles est établi chaque année par les réseaux Agreste et SAFER, selon une méthode définie depuis 2009. Ce calcul repose sur un regroupement des appellations viticoles, conformément au décret n°2008-1359 relatif aux conseils de bassins viticoles.

  • Pour la majorité des régions (hors Alsace et Champagne), les prix de référence (prix dominant, minimal, maximal) sont fixés « à dire d’expert« . C’est-à-dire à partir de l’observation et de l’expertise du terrain.
  • En Alsace et Champagne, le prix moyen est calculé statistiquement, puis validé à dire d’expert, avec suppression des valeurs aberrantes.

Les prix moyens annuels par département et bassin viticole sont ensuite obtenus par agrégation pondérée des prix des différentes appellations, en fonction de leur surface plantée (données issues du casier viticole informatisé – CVI).

Une feuille de calcul avec calculatrice, pieces et mesureur

Au-delà des références officielles, la valorisation fiable d’un domaine viticole nécessite une analyse individualisée, conduite par des professionnels.

  • Les experts fonciers et agricoles

Ils sont mandatés pour estimer la valeur des vignes. Leur approche repose sur une analyse technique (âge des vignes, cépage, rendement, état phytosanitaire). Et aussi économique (rentabilité, charges) et juridique (servitudes, droits de plantation).

  • Les agences spécialisées

Forts d’une connaissance approfondie du marché local, les cabinets spécialisés disposent d’un regard unique sur la valeur réelle du foncier viticole. Grâce à leur ancrage dans la région, à leur réseau d’acquéreurs et à leur veille continue des transactions, ils assurent une évaluation cohérente, actualisée et pertinente du vignoble à vendre.

Ampelio accompagne depuis plus de 13 ans les vignerons dans la valorisation de leur domaine, en intégrant les dimensions techniques, économiques et humaines propres à chaque projet.

Marine Boudignon accompagne un vigneron dans son domaine viticole
  • Les notaires : conseil et transparence juridique

En tant qu’acteurs des transactions, les notaires peuvent également apporter leur éclairage sur les valeurs constatées localement. Ils garantissent la sécurité juridique des actes de vente et peuvent intervenir dès l’évaluation, notamment dans le cadre de successions ou partages.


Le prix des vignes en France

La France compte 14 grandes régions viticoles : L’Alsace-Lorraine, L’Armagnac et Cognac, le Beaujolais et Lyonnais, le Bordelais, la Bourgogne, la Champagne, la Corse, le Jura, le Languedoc-Roussillon, la Provence, la Savoie, le Sud-Ouest, le Val de Loire et la Vallée du Rhône.  

Carte des régions viticoles de France - Le Figaro

Le Figaro Vin

De manière générale, les prix ont baissé en 2024. Le prix moyen d’un hectare de vigne s’établit à 176 400 euros soit une baisse de 1,1 % par rapport à l’année dernière. (Le Figaro Vin)

Cette moyenne est surtout le résultat de prix par régions très contrastés.

Les chiffres donnés ci-dessous sont basés sur les cotations données par Agreste et les SAFER. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter les dossiers complets Agreste et SAFER

Tableau de synthèse des prix des vignes par région en France (2025)

Le marché viticole alsacien reste stable, avec une légère hausse des prix. Notamment portée par le renouveau du pinot noir et les dynamiques durables. Les vignes se négocient entre 90 000 €/ha dans le Bas-Rhin et 138 000 €/ha dans le Haut-Rhin.

Le vignoble de Lorraine reste lui très marginal en surface comme en volume sur le marché viticole français : seulement 180 hectares (AOC Moselle et Côtes de Toul, et l’IGP Côtes de Meuse).  Il ne fait l’objet d’aucune études foncière significative à ce jour car les volumes de transaction sont faibles.

De manière générale, le marché des vignes à eaux-de-vie, porté par le Cognac, a connu un net coup d’arrêt dès 2023. Après plusieurs années de hausse, les prix se replient sous l’effet d’un recul des exportations, notamment vers les États-Unis. Le secteur reste cependant bien structuré, avec une régulation forte et une attractivité maintenue pour les crus les plus qualitatifs.

Les prix restent entre 35 000€ l’hectare et 65 000€ l’hectare selon les crus.

Le Beaujolais regagne en attractivité grâce à un retour en grâce des crus et une communication renouvelée. Le vignoble reste morcelé, ce qui freine parfois les transmissions.

L’appellation Beaujolais est actuellement à 11 000€/ha, les crus à plus de 60 000€ et nous arrivons à 100 000€ l’hectare pour le cru Moulin à Vent.

Le marché viticole bordelais présente des écarts de prix spectaculaires selon la notoriété des appellations. Tandis que les AOP génériques subissent de plein fouet une crise liée à la surproduction et à la baisse de consommation de vins rouges, les grandes appellations prestigieuses maintiennent des niveaux très élevés.

Quelques exemples illustrent cette disparité : de 9 000 €/ha pour une AOP Bordeaux ou 15 000 € pour Monbazillac, à 21 000 € pour Fronsac ou 25 000 € pour le Médoc.

Les crus prestigieux atteignent des sommets : 270 000 € à Saint-Émilion, 1,5 M€ à Margaux, 2 M€ à Pomerol et jusqu’à 3 M€ à Pauillac.

Premiers bourgeons d'une grappe de raisins

La Bourgogne reste une région viticole à la demande soutenue, aussi bien en France qu’à l’international. La rareté des transmissions rend le marché particulièrement tendu et les repères de prix difficiles à généraliser.

Malgré cela, on observe des niveaux très contrastés selon les terroirs. Environ 35 000 € pour une appellation Bourgogne, en moyenne 200 000€ pour un Chablis et jusqu’à 420 000 €/ha en Côte de Beaune.

Les Bourgogne Grand Cru montent à plus de 7 millions €/ha.

La Champagne continue d’incarner une valeur sûre sur le marché foncier viticole français. Malgré un ralentissement des exportations, les prix restent orientés à la hausse. La faible surface disponible et à une image internationale forte, soutient la valorisation des vignes, en particulier dans les crus classés.

Ainsi, les vignes AOP Champagne seront estimés autour des 930 000€/hectare et montent jusqu’à 1 680 000€ / hectare pour les grands crus.

Le vignoble corse demeure restreint par sa taille, mais il attire un intérêt croissant, notamment en raison de son positionnement et de sa diversité de terroirs. Si le volume de transactions reste faible, la dynamique qualitative est réelle, portée par une nouvelle génération de vignerons.

Les prix sont encore très raisonnables. Les vignes Corse vont de 16 000€ l’hectare (hors AOP) jusqu’à 35 000€ pour les appellations Patrimonio et Coteaux du Cap.

Le Jura connaît un regain d’intérêt, grâce à la notoriété croissante de ses vins blancs et la reconnaissance des terroirs. Cette petite région séduit, ce qui entretient une hausse continue des prix.

Le prix d’un hectare de vignes est entre 35 et 55 000€ l’hectare.

Un pied de vigne

Le Languedoc Roussillon traverse une période difficile, marquée par une baisse de la consommation de vins rouges et une pression économique sur les exploitants. Les prix des vignes reculent légèrement dans la plupart des appellations, à l’exception de quelques terroirs qui tirent leur épingle du jeu grâce à une valorisation qualitative.

La majorité des appellations du Languedoc comme Minervois, Muscat, Faugères ou Corbières affichent des prix raisonnables, autour de 8 000 à 15 000 €/ha. En revanche, des AOP comme Picpoul de Pinet ou Pic Saint-Loup atteignant respectivement 33 000 € et 75 000 €/ha. Les vignes en appellation Banyuls ou Collioure, recherchées pour leur spécificité géographique, atteignent environ 21 000 €/ha.

Le marché viticole provençal est l’un des plus attractifs de France, porté par la forte demande internationale sur les rosés haut de gamme et le prestige de certaines appellations. L’image, associé à un foncier rare, soutient des niveaux de prix élevés et stables.

Les vignes en AOP Bandol atteignent 125 000 €/ha, tandis que celles des Côtes de Provence se situent autour de 60 000 €/ha. Les appellations comme Les Baux-de-Provence (45 000 €/ha) ou Cassis (jusqu’à 120 000 €/ha) confirment la valorisation du vignoble provençal.

Le marché viticole savoyard est discret mais stable, porté par une consommation locale dynamique et des projets qualitatifs souvent en lien avec le tourisme de montagne.

En 2024, les prix des vignes varient selon les appellations : entre 21 000 €/ha en Chautagne et 50 000 €/ha dans la Cluse de Chambéry. Le secteur des Quatre Cantons se distingue avec une hausse marquée à 27 000 €/ha (+13 %).

Le marché viticole du Sud-Ouest affiche une grande diversité, mais reste globalement peu en dessous de la moyenne française. La baisse de la consommation de vin rouge affecte la région, notamment les appellations moins connues.

Toutefois, certaines zones tirent leur épingle du jeu grâce à leur typicité et leur attachement au terroir.
Les vignes en appellation Cahors se négocient autour de 13 500 €/ha, celles de Madiran à 15 000 €/ha, et celles de Gaillac à environ 9 000 €/ha. Des AOP comme Pacherenc du Vic-Bilh ou Saint-Mont affichent des prix similaires, entre 14 000 € et 15 000 €/ha.

La Vallée du Rhône offre un marché viticole très hétérogène, où coexistent des appellations très cotées et des zones en difficulté. Le secteur nord (Saint-Joseph, Côte-Rôtie, Hermitage…) bénéficie d’une forte renommée et d’une valorisation élevée.

À l’inverse, le sud de la vallée, en particulier les appellations génériques comme Côtes-du-Rhône, subit les effets de la crise des vins rouges.

Cette dichotomie se reflète dans les transactions : les crus se maintiennent, voire progressent, tandis que les appellations régionales voient leurs prix s’éroder.


En 2024, les vignes en AOP Côte-Rôtie et Condrieu atteignent des sommets à 1,25 M€/ha. À Saint-Joseph, les prix progressent nettement, autour de 140 000 €/ha (+17 %).
Châteauneuf-du-Pape, toujours très recherché, poursuit sa progression et dépasse les 510 000 €/ha.

À l’inverse, les Côtes-du-Rhône régionales dans la Drôme ou le Gard reculent à 14 000–15 000 €/ha.


Le prix des vignes en Val de Loire

Le Val de Loire, plus vaste région viticole de France, se distingue par la richesse et la diversité de ses terroirs. Son dynamisme actuel et la notoriété grandissante de ses appellations en font un territoire particulièrement attractif pour les projets d’acquisition.

Dans le Muscadet, les prix des vignes varient selon les secteurs : ils oscillent généralement entre 5 000 € et 16 000 €/ha, avec des valorisations supérieures dans les crus communaux les plus qualitatifs.

En Anjou, la diversité des appellations entraîne une large gamme de prix. Les vignes en AOP Anjou se situent autour de 19 000 €/ha, tandis que les blancs moelleux, notamment le Coteaux du Layon, atteignent entre 20 000 € et 120 000 €/ha, avec un pic pour les parcelles classées en Grand Cru Quarts de Chaume. L’appellation Savennières, réputée pour ses blancs secs de garde, peut quant à elle dépasser les 70 000 €/ha.

À Saumur, les prix progressent sensiblement ces dernières années, où les vignes se négocient aujourd’hui entre 30 000 € et 70 000 €/ha (pour Saumur Champigny).

Les secteurs de Chinon, Bourgueil et Saint-Nicolas-de-Bourgueil restent accessibles, avec une fourchette de 15 000 € à 50 000 €/ha selon la localisation et la qualité des sols.

Du côté de Vouvray et Montlouis-sur-Loire, l’engouement croissant pour le Chenin, cépage emblématique de la région, soutient les prix montent autour de 15 000 à 25 000 €/ha, offrant encore un bon rapport qualité/prix.

En Touraine, les appellations moins valorisées présentent des prix moyens autour de 10 000 €/ha, constituant un levier d’opportunité pour des projets de développement.

Enfin, en s’approchant du Centre-Loire, les valorisations s’élèvent nettement. Les appellations Quincy, Reuilly et Menetou-Salon se fixent entre 60 000 € et 90 000 €/ha. Le vignoble de Pouilly-Fumé atteint quant à lui les 160 000 €/ha, tandis que Sancerre, tiré par sa notoriété internationale, enregistre des prix record autour de 215 000 €/ha.

Attention toutefois, la rareté des transactions dans cette zone rend les références moins fréquentes, ce qui peut conduire à des variations importantes selon l’offre et la demande du moment.

A lire : 10 appellations pour découvrir les vins du Val de Loire

Carte du Val de Loire par appellations et régions

Vins de Loire


Perspectives : vers une hausse ou une stabilisation des prix sur la Loire ?

Il est toujours complexe de prévoir l’avenir sur un élément autant en changement que les vignes et la nature.

Nous constatons cependant un intérêt de plus en plus vif pour le Val de Loire, tant par les jeunes à l’installation, les reconversions, les investisseurs et même les vignerons français en quête de diversification.

Cette région séduit par la fraîcheur de ses vins, l’intérêt croissant des consommateurs pour des vins plus légers et digestes, et un patrimoine culturel propice à l’œnotourisme.

Le Val de Loire bénéficie également d’une diversité exceptionnelle de terroirs et de cépages, d’une qualité de vie reconnue et d’un climat encore modérément impacté par le réchauffement climatique.

Sur le plan économique, ses prix fonciers, encore accessibles par rapport aux autres bassins viticoles français, en font une terre d’opportunité pour les projets d’installation ou de diversification.

Ce contexte favorise une hausse progressive des prix dans les appellations les plus recherchées (Sancerre, Saumur, Vouvray, …), tandis que les autres appellations tendent à se stabiliser, offrant des opportunités pour des projets ambitieux.

Accessible et résilient, le Val de Loire s’impose ainsi comme une région d’avenir, alliant potentiel économique et qualité de vie pour les vignerons.

Découvrez les avantages et opportunités d’un domaine viticole en Val de Loire

Un arbre planté au milieu d'un vignoble sur le Val de Loire

Nos conseils pour investir dans des vignes

Avant d’investir, définissez la nature de votre projet : s’agit-il d’une installation, d’une reconversion professionnelle ou d’un investissement axé sur la rentabilité viticole ? Chaque profil implique un engagement financier et humain.

Pour en savoir plus : Quel domaine viticole pour quel profil ?

Le choix du bassin viticole dépend à la fois de votre budget, de vos affinités avec certains types de vins, et du dynamisme du marché local.  Certaines régions, comme le Val de Loire, offrent un bon compromis entre accessibilité foncière, dynamisme des appellations et potentiel de valorisation. À l’inverse, les zones déjà très cotées (Bourgogne, Champagne) requièrent un capital plus élevé mais peuvent donner une meilleure rentabilité.

Étudiez les prix des terres, les tendances de marché, les coûts d’exploitation, et les débouchés commerciaux. Une bonne connaissance de ces données vous permettra d’évaluer votre vision à moyen et long terme, en fonction de l’appellation, du rendement, et des circuits de distribution.

Faire appel à un expert en transactions viticoles, comme Ampelio par exemple, vous permet de fluidifier chaque étape : sélection des biens correspondant à votre profil et votre projet, évaluation, audit foncier, négociation, accompagnement juridique et financier.

Qu’il s’agisse d’une reprise d’exploitation ou d’un investissement, évaluez la viabilité technique et économique : état du vignoble, matériel, main-d’œuvre, normes, potentiel de production… Ce sont des éléments structurants pour estimer le seuil de rentabilité et le retour sur investissement.

Selon vos objectifs, vous pouvez investir via une société d’exploitation (EARL, SCEA…), un GFV ou en nom propre. Le cadre juridique choisi aura un impact direct sur votre activité.

Coteaux en val de loire

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Acheter un domaine viticole : quels accompagnements financiers ?


Conclusion

Une vigne, ce n’est pas seulement un bien foncier : c’est un univers vivant, une entreprise viticole en constante évoluation, profondément lié aux cycles de la nature et au travail du vigneron. Chaque parcelle porte une histoire, un terroir, une main qui la travaille au fil des saisons.

La vigne n’est jamais figée. Elle évolue avec le climat, les pratiques culturales, les générations et les choix humains.

C’est pourquoi il est essentiel de valoriser chaque vignoble dans sa globalité, à un instant précis, avec justesse et expertise.

Chez Ampelio, nous sommes convaincus que cette approche fine et sur mesure est la clé d’un investissement réussi. Notre rôle est d’accompagner les porteurs de projets, vendeurs comme acquéreurs, avec une vision réaliste, engagée et éclairée du marché viticole.

Chez Ampelio, notre vocation est de trouver la bonne adéquation entre un domaine viticole et son repreneur. Nous plaçons l’humain au cœur de notre métier.

Lors des reprises, notre préoccupation principale est que cette association soit pérenne, durable et saine : que chaque personne s’épanouisse et y trouve son intérêt. L’avenir économique du domaine viticole doit également être pris en compte dans le projet.
Nous encourageons évidemment ces reprises et mettons toute notre expertise au service des projets de chacun.

En savoir plus sur notre expertise et notre accompagnement

Vous avez une question concernant la vente ou l’achat d’un domaine viticole ?

Notre équipe se fera un plaisir d’échanger avec vous sur votre projet et répondre à toutes vos interrogations.

Ampelio, c’est 10 ans d’expérience dans l’accompagnement et le conseil en transactions viticoles sur la Vallée de la Loire.

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